Au départ,  comme j’étais complexé de vendre mes tableaux., je faisais un titre comme un cadeau BONUX qui allait avec le tableau.

Je venais des Beaux Arts où les générations avant moi Support surface & Co avaient la religion du « SANS TITRE ».

Comme j’aime bien pas faire comme les autres, j’ai commencé à donner des titres qui se sont rallongés sont devenus des petites histoires qui expliquent mes peintures.

Mais, certains me disent que ça peut marcher sans le tableau. On a publié un livre qui s’appelle «  Ecrits d’œuvres »,

ÉCRITS D'OEUVRES, Ed PANAMA

ÉCRITS D’OEUVRES, Ed PANAMA

où sont réunis une petite sélection de mes titres.

Depuis, je m’applique davantage, et j’écris aussi des chansons.

 

 

 

 

 

 

 

PLEFCT …. Poésie Combassienne

 

Toujours ils pensent qu’à se foutre sur la gueule parce qu’ils veulent toujours pas s’aimer. Alors ils se bosquent. Y’a même des bosqueurs qui aiment les fleurs et d’autres les animaux, rarement le type qui traîne devant chez lui. C’est normal. Remarquez c’est comme si vous demandiez à un chasseur de manger de la « Salade ».

Le Kiki de Katy n’est pas une quiquète mais un petit animal qui a une grosse queue mais pas celle de devant bien que…

Norbert est-elle à toi ? Mais non je l’ai inventée moi, et c’est donc avec émoi que je vous la soumets.

Mais alors, je deviens poissonnier maquereau d’ailleurs spécialisé ! Ha ! Non vendre mon poisson sur les trottoirs ça jamais ! Il n’en est pas question. Je vais plutôt ouvrir une maison close. Ça sentira moins les arêtes mais par contre, la région risque de sentir la chair et les os.

 

Le couple enlacé rose bonbon sucé savoure le plaisir. Avant de dessaisir  l’occasion de finir leur vie au Paradis. Et c’est vrai que c’est elle qui n’a pu s’empêcher, La belle, de se faire TENTER auprès du sieur SATAN.

 

Le joueur de clarinettes à bec et son copain Fabulatoire de prénom Conservatoire. Et y’a une bête qui rigole et qui fait des blagues, elle a une tête de bite gaie.

                           

 

Le danseur à la grande gueule et au canon de Navaro*(ne), détenteur du titre de meilleur tireur aux pigeons (et aux pigeonnes aussi). Il est Bibi mais pas Chéri. Et quand « il lâche », « ça arrache ».

Étant donné que ça m’étonnerait que Monsieur Navarro est un si beau canon, je me permets de rajouter un N et un E comme ça, ça fait nœud.

 

Les alsaciens ont fait des fromages de tête, au lieu de faire les petits suisses, vinasse contre choucroute, les alsaciens auraient du être neutres!

 

Il parait que les accidents de la route sont à la mode cette semaine.

La discussion hétéroclite s’ensuivit d’images hétéroclites dans la tête.

Les parlent toujours pour dire quelque chose au sens propre comme au sens figuré. Et non pour ne rien dire.

 

Cœur de bœuf examiné. On dirait un cœur comme les tomates  » cœur de bœuf  » qui traînent par terre régardées par deux personnes fascinées et interrogatives. C’est çà l’Art, is tick et ZO de risque!

Le monsieur au chapeau rouge à antennes radiophoniques transmet par télépathie remplace fil les émissions en langues fourrées, à Patachoune, la nièce de la grosse gouine, la marchande de quenelles. Pata (pour les intimes) s’est fait couper les tifs en style paramilitaire pour faire le style ambigu, mais surtout ambidestre. Elle télépâtefraiche très très bien reçu, grâce à ses énormes oreilles réceptrices. Elle est aussi speakrine new look à radio Patrouska.

Duo de campagne mélange pâté. Moitié chanteur bateleur, moitié troispieds tripié? acrobato-contortio-clown à manipulateur? A teur!?…oui à teur et main rouge en décor! (plus maison étoiles et le bleu, son bleu*. Le bleu de qui? Moi de moi bien sûr.

*Featruring Mario : « Moi ce que j’aime c’est son bleu…! »

Lettre d’amour avec double tête de gémeaux et oiseaux piailleurs un peu mordeurs et jeunes et jeune viève en peau sans tricot mais avec boutons marrons chaleur, sur la pointe des pieds chaussés de « frais ». Le chat Léon a enfilé son pantalon panoplie de tigre.

Coup de feu dans la bouche, craché mais pas tiré

Roi indigène d’Amérique du sud de l’époque du début de la fin (c’est-à-dire début des invasions européennes). Il pleure sa dulcinée (une princesse espagnole) il influence la jeune fille à distance grâce à sa petite poupée en bois. Il lui pleure tout son amour et par un phénomène de transmission de pensée lui ordonne de l’aimer. (Soulignons que ce roi arrivera à ses fins mais le bougre se fera assassiner à coup de couteau dans le dos par le père de la princesse, le grand conquistador, le comte de San Miguel de Ramirez). Piratage de l’histoire du monde.C’est à dire Bouches du Rhône-Hérault. Anchoïade au chalutier et de voiliers à la sauce peinture. Les indigènes à l’accent typique chanteur et à l’œil rincé regardent un coup les bateaux, un coup les maillots des filles à moitié nues qui se font dorer la pillule à la chaleur de midi.

                           

 

Mohamed BEN BARKA est serveur dans un restaurant italien chez PIOZOLI. Comme il n’y a pas longtemps qu’il est en France, chaque fois qu’il voit une belle femme, ça le tourne jusqu’aux doigts de Pieds. Une blondasse du type germano-aryen a l’air de lui faire de l’œil. Je parie tout ce que vous voudrez que Mohamed il se prend pour le pied de la TABLE, celui qui est entre les cuisses de la FRAÜLEIN.

Milord s’est habillé de frais, il a mis son costume du dimanche pour aller voir une jeune métisse qui l’excite sérieusement. Comme ça ne marche pas fort question drague, il décide de faire appel à un MARABOUT, monsieur Germain. Monsieur Germain lui a donné des tisanes magiques faites à partir de plantes médicinales d’Afrique orientale. Milord qui est gaulliste s’est fait confectionner un godemichet en forme de croix de Lorraine comme ça chaque fois qui baise il pense qu’il fait rentrer ses idées politiques dans la tête des gens. En tout cas si il leur fait pas rentrer dans le crâne il leur rentre quand même quelque part. Et même des fois y’en a qui disent encore! La Métisse, elle a l’air de s’en foutre, même avec la croix dans le cul et dans la chatte elle « CRANE ». Il faudrait essayer dans la bouche qui sait?

Armando l’homme-sirène d’origine calabraise est le patron des poissons du Sud de la France. Il en a vu des vertes et des pas mûres, il a perdu un œil en se battant contre un espadon il y a quelques siècles. Il est un peu esquinté, le bougre, mais il est toujours là pour régner sur le peuple à branchies. C’est lui qui accorde le droit aux pêcheurs de pêcher, les pizzas aux anchois, c’est grâce à lui, la bouillabaisse c’est lui, les sardines grillées au fond du jardin c’est toujours lui. Il fallait que ça se sache.

 

La gitane et ses copains monstrueux et gentils dont un dragon chien tireur de langue. La Fanfare a entrepris l’escalade de la face droite de la belle Espagnole et quand ils seront en haut ils crieront vive le Godillot.

 

Le jeune homme bleu qui ressemble étrangement à un dieu hindou se bat contre un tigre panthère pour un quelconque message humanitaire.

Tableautin diablotin d’une partie carrée dont tous les personnages sont en vérité les mêmes le monsieur bleu du ciel et la jolie brune en chaleur à moteur.Et que ce soit toute nue ou promenant dans la rue ou simplement en rut dans un salon cossu ou encore en culotte ou en bas parvenu y’a toujours ce malade de la BRANLE A TOUT VÀ!

Cet amoureux TRANZIT qui n’en peut plus d’elle et qui bande à «tire d’Aile!» DE la sexe en ZIZI.

Le marin solitaire

Seul sur ce vieux bateau, je ne donne pas cher de mes vieux os à la ligne.

Même en me foutant de tout, je ne peux pas m’empêcher de penser à vous, à me casser la tête !

Je rêve et me réveille matelot de lendemain de cuite, sans avoir bu un seul verre d’alcoolitre.

Où êtes-vous mes douces créatures ? Je navigue seul sur les flots noirs et verts foncé aux reflets d’argent, d’or et de lumière. Seul, en attendant la tempête qui,  virtuellement ou un peu physiquement, est déjà un peu là à RAVAGER le pont en silence bruyant !

Les majorettes du Barrou.

Les majorettes ont du poil sur les jambes et des mines patibulaires « drag queens » avant l’heure par Hutérus plombs pétés !

Les majorettes du Barrou sont masculinisées car ce ne sont pas des pédés, mais ils adorent se déguiser en tout ce sui se fait de féminin travelorisée.

C’est le corso, le carnaval et les fanfares marchent au pas. La fanfare me donne des frissons chair de poule, c’est bizarre ! ce sont surtout les tambours, c’est bizarre ! il paraît que ça le fait à tous les enfants.

La foule sait rigoler en gros éclats de rires gras, avec l’odeur de berlingots, confettis à tout va enluminent toute la smala !

Grosses têtes à gogos qui se tiennent le cou pour ne pas tomber, à cause du poids de cerveau, contre le bas-ventre.

Les auto-scooters.

Je passai devant les auto-tamponneuses, Mana venait de massacrer un mec qui était plein de sang. Y’avait aussi Coulé, Roger le fils du concierge de la Mairie et aussi Dédé Pradille et quelques autres.

Ils avaient les cheveux teints au henné et portaient l’hiver des manteaux de fourrures et des bottes camarguaises. L’été, des chemises à carreaux et aussi des blue jeans rapiécés comme Neil Young, les Byrds ou Crosby et touti couinti ou bien sûr Dylan.

Mais question «peace and love»  y sont-ils jamais arrivés ?

Rousson, le lieu des bagarres.

Les élèves de l’école Paul Bert à Rousson, les frères Giméno ou Géméno, le roi des frappeurs Germain CREDIDIO et les conneries de Pissito en classe de Monsieur Gallibert, cours moyen 2ème année.

Brassens et la sirène bourgeoise et le fantasme prolo.

Brassens a-t-il pris de la bouteille ? En tout cas selon la peinture qui vient sûrement d’un rêve éveillé inconscient OUI !

Une sirène très belle, mais typique des dessins humoristiques, danse devant Georges une mazurka aquatique. Mais la toile est picturale et Georges   Mais non, c’est Edgar Poe bien sûr et son ange du bizarre qui par contre n’était pas dragueur.  Alors que le jeune Georges avait l’air chaud comme un sétois en chaleur. Si la sirène est Reine, Georges sortira son ancienne carte du parti anarchiste et fera la révolution pour lui bouffer le con !

 

La tempête.

La tempête se fend la bise,

La tempête se fait une fête,

Tous les poissons sont retournés,

Et les mouettes font comme si de rien n’était.

Le tuage du lapin

Mamie tuait le lapin

Et moi je ne voyais rien.

Dans la lune sans fin,

Je comprenais pas bien ;

Nœud faisait pas la liaison

avec les autres Bunnys

Dont les clapiers fermés

Reposaient à quelques mètres d’ici.

Là-bas, près du poulailler,

Mamie voulait m’habituer,

Me passer inconscient le flambeau de ce sacrifice non rituel.

Et moi assis jambes croisées

Je regardais la scène sans broncher

Et de temps en temps aussi

Les feuilles et le ciel.

Je n’étais ni content, ni dégoûté

Par ce tuage organisé qui passait par plusieurs phases.

Ce n’est qui bien plus tard que la violence sauvage dévoilera son visage à découvert pour tatouer au plus profond du dedans de mon moi ce court-métrage.

Le pont de la gare (qui en cache un autre)

Avec Francis et le grand Gonzalez, on a fumé nos premières cigarettes cachés sous le grand pont. Comme un avertissement de la puissance du monde, comme le poids noir trop lourd et gris pour ces jeunes petits, on ramassait par terre Kool, Peter’s et Malboro, P4 les jours de misère (mais achetées au détail s’il vous plait ), les flashs et les bastos les jours d’opulence. Le poids de la vie qui commence à 11 ou 12 ans le temps des premières bêtises, on était gentils des fois et un peu voyou d’autres fois. Avant on était les deux alors que maintenant, les enfants sont l’un ou l’autre, c’est malheureux mais c’est comme ça.

Le contournement de Sète par Hannibal.

Certains affirment qu’Hannibal est passé par Sète pour aller attaquer les Romains en Italie. Pourquoi se prendre de l’eau dans les pattes, monter et descendre une montagne sans route alors que pas trop loin derrière l’étang de l’autre côté, c’était sec et habité ?

Alors Hannibal est passé par Balaruc, halte pour les bains romains car « Balaruc les bains ». À Mèze, il a mangé des huîtres et des palourdes, à Poussan, il s’est pété la gueule à l’hydromel ou au muté qu’ils ont pressé avec les pieds. Puis ils ont continué à avancer à raconter des blagues. De l’autre côté, Sète les regardait.

Le bal.

Des fois c’était tellement la dèche au point de vue concert qu’on zonait toute la soirée dans le bal des quartiers.

Moi, je me faisais super chier, mais les copains cherchaient le virtuose. Y’en a toujours un dans un ex-groupe rock reconverti dans l’alimentaire style guitariste de MAGMA devenu gratouilleur chez Michel Delpech en province. Le guitariste des RMIstes Belges a quitté le groupe, il se marie, travaille au guichet de la banque du pis de Parcifal et joue le week-end avec Philippe ROMANO orchestre light show et danseurs.

Hé oui ! certains musicos étaient comme en manque, il leur fallait au moins un solo de quelque chose pour s’extasier autant qu’en concert si non plus.

Plat du sud et chien Bull’over.

Plat du sud discussion délire. Images colorées imbriquées et fusionnantes pour essayer d’inventer le ressentir intérieur du sud de Sète et même de Sète du nord d’ailleurs.Soleïado, en nappe « mangia pas, y’a pas cagat» , comme disait Louisou, gueulait un ex-frappeur du ‘quartier haut’ qui pense qu’à mettre sa bite n’importe où et à chasser les cailles au sens propre et au sens figuré avec son chien BUL-OVER rouge. Il a cuisiné ces malheureux petits oiseaux avec un pain et des olives. Même si il devait griller au soleil sur la terrasse, il attend que l’autre, son copain Pierro  Annonciato lui jure que ce sont les meilleures cailles chaudes du monde.

La baigneuse.

PLOUF, elle plonge. PLAF, elle nage. PLIF, elle pousse un petit cri. PLUIFP ses seins pointés au moindre coup de vent. PLEFCT, elle sautille dans un style féminin. PLOUF, une vague énorme lui a fait boire la tasse. PLOUF, elle se noie, on ne distingue plus que sa main.

Masturbations adolescentes.

« Mano a mano », ou vautré sur le lit en se frottant sur le matelas, délires d’images fantasmagoriques mélangées aux photos de canon de beauté, de papiers ou d’idées, comme un passage obligé.

Ni sport, ni jeux, ni exercice, on la dit vulgaire la masturbation à cause du langage qui l’a rendue  grossière : « lâcher la purée », « se monter un pignole », « une sègue », « la veuve-poignet », « cracher le jus »…Langage universel pas très propre sur lui, empoisonnement dans un sens de produit, on disait même que ça assourdit!

En vérité, c’est un geste divin isolé d’un adolescent vierge découvrant un des plus grands plaisirs de la vie, comme une magie, un paradis ressenti. Puis soudain honte, dégoût, complexité sans fin…

Solitaire, en bateau, un grand et beau voilier dans la nuit belle et chaude. Bernard savoure tous les sens sur le pont d’une région de mer en face de Sète dans le golfe de Lyon. Il voit sauter et même briller les poissons grâce à la lune presque pleine et grâce au ciel dégagé. Dans son cerveau en liberté, mille dessins dorés se dessinent dans le ciel, mille rayons abstraits leur rendent la pareille. C’est  à ce moment-là, que Bernard qui pas plus tard que ce matin se plaignait d’être seul, savoure au maximum son état privilège.

 

« Riot in sun-set trip , Riote fait un voyage à Sète.

 

Gérard Riote pour les intimes est américain, mais sa mère est sétoise et depuis deux ans, elle sucre les fraises. Pour aller la lorgner, il achète ses tickets de voyage en papier buvard car il dose ses voyages par rapport à ses moyens. Des USA Sète c’est loin ! sa maman a décidé, oui elle a décidé, de l’injurier. S’il ne se ramène pas tout de suite, elle le déshonorera, elle le surnommera « quart de trip » .

 

Commedia dell’Arte emmaillotée.

Cinq personnages de la Commedia dell’Arte en vacances à Sète, avec la participation des maillots Jaïs frères (fripes rue Saint Martin, Paris).

C’est les vacances, c’est les vacances, c’est un nom d’artiste en bermuda, Pantalone.

Sa fille est en lycra wonderbra, c’est les vacances, c’est les vacances.

Pierrot a mis par dessus son maillot et Poly, pas le cheval mais le Nelle, donc Polichinelle est content comme tout parce qu’il a trouvé son slip de bain en peau de MARSOUIN plastique.

C’est les vacances, c’est les vacances.

Et enfin, Arlequin a mis son chapeau à queue de lapin, because soleil dangerouze y cause di la couche di zone.

 

L’auto-tamponneuse avec une célébrité inconnue.

Ho ! la jolie voiture

Ho ! la jolie toto

Ho ! la jolie auto

C’est un condensé, un moteur de Taco mais la bagnole bouge bien, elle file des coups de frein !

Pour s’arrêter et pour poser, poser après s’être reposé, poser pour un journal pour cancans of célébrités. Célébrité ? mais qui est cette femme jeune, belle et gay ?

La voiture à Ramirez Martinez et Patchacouaille.

En vérité, c’est une auto-tamponneuse déguisée en voiture banale à drôle de forme. Elle est conduite par Patchacouaille et Ramirez Martinez qui n’était pas encore Yul Brynérisé.

 

Figurettes archéologiettes.

Sérieux de tête de dieux, écritures et signes mystérieux. Vestiges des bateaux coulés venant tout droit de la mer Égée.

Statuettes des habitants indigènes, des habitants bordant l’étang, visages de terre ou en pierre, simplicité des yeux, mystérieux…

Figuettes archéologiettes qui font sentir l’étrange des rites païens dont on ne sait rien ou plutôt si, un peu , beaucoup ou pas grand-chose

 

Brassens vieux

Un peu sculpture, un peu peinture. Un monde de poupées un monde de dessins animés, un monde de tissus usagés mais quand même passés à la machine à laver !